samedi 9 avril 2011

Le mystère de l’invisible : le Horla

            Le Horla est écrit par Guy de Maupassant.  Le texte est en forme de journal personnel qui décrit un été où un être surnaturel terrorisait le narrateur.  Le narrateur est le personnage principal et l’antagoniste est en fait le Horla.  Le Horla a tourmenté le narrateur jusqu’au point où l’auteur est devenu fou.  Le narrateur n’avait qu’un seul choix à la fin de l’histoire, de se suicider.  Ce texte parle en sorte du thème du mystère de l’invisible, qui signifie un être irréel devenu réel qu’on ne voit pas et qui a détruit la vie du narrateur.  Le texte explique bien les causes, les effets et les conséquences du mystère de l’invisible.
            Le thème principal du texte de Maupassant est le mystère de l’invisible.  Au début de l’histoire, le narrateur exprime des émotions confortables dans sa vie personnelle.  La première journée enregistré, c’est une belle journée.  Le mystère de l’invisible se présente la deuxième journée enregistrée, lorsque le narrateur dit, « J’ai un peu de fièvre depuis quelques jours; je me sens souffrante, ou plutôt je me sens triste. »  Avec cette fièvre, il commence à s’ennuyé et il y a quelque chose qui l’agace en lui.  Vers le 16 mai, le narrateur affirme qu’il y a quelque chose à l’intérieur de lui en disant, « Je suis malade, décidément! Je me portais si bien le mois dernier! J’ai la fièvre, une fièvre atroce, ou plutôt un énervement fiévreux, qui rend mon âme aussi souffrante que mon corps! »  Ceci démontre le début des misères du narrateur et il devait commencer à trouver un remède pour se guérir.   
            Ce journal personnel montre des reflets de l’impact du mystère de l’invisible sur le narrateur de l’histoire.  À travers l’histoire, il croit qu’un être surnaturel épouvantable est en lui. Il a tenté plusieurs fois d’enlever l’être par exemple en prenant une marche dans la forêt et voyager à Paris.  Le voyage à Paris a aidé le narrateur pour une période finissant vers le 20 aout.  Après le 20, le narrateur se rend de plus en plus fou.  L’être surnaturel démoli l’esprit du narrateur constamment dans l’histoire.  Vers la fin de l’histoire, le narrateur tante de se débarrasser de l’être en brûlant sa maison.  Ceci ne résulte pas positivement car l’être est toujours en lui.  Par conséquence, la seule solution qu’a pensé le narrateur, était de se suicidé.  Il décrit ceci dans les dernières lignes du texte.  
            Dans Le Horla, le mystère de l’invisible est vu comme un pouvoir surnaturel qui n’est pas visible et il était l’antagoniste qui démoralisait le narrateur.  En sorte, la cause de la maladie mentale était la fièvre du début; par la suite, les effets étaient le feu de la maison, et la conséquence était la mort du narrateur. L’auteur écrit que l’être est la cause de la folie du narrateur et qu’il n’y a pas de remède pour la maladie dont il occupe.

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