mardi 29 mars 2011

Le point culminant (texte descriptif)

Le niveau d’adrénaline monte jusque tu sentes tout ton corps.  Les longues jambes deviennent raides comme des béquilles et les orteils se courbent comme en croissant français.  Le train continue à monter et il passe la caméra ayant vu le flash incroyablement brillant.    Les yeux se fixent sur le haut de la montagne.  Le train commence à ralentir car il est au sommet de la montagne.  Les oreilles entendent des gens hurler. Les gens hurlent comme s’ils font face au démon car ils croient que leur peur disparaîtra en criant.  Le cœur bat si lentement que le chant de l’alphabet peut être chanté entre deux battements cardiaques.  C’est le moment le plus intense.  Être au point culminant de la première côte de la montagne russe.  Tu te sens au haut de la montagne la plus haute des Alpes suisse. 
C’est le moment où les os diront leurs salutations à la peau.  Les poils vont tous s’étirer et les cheveux vont monter.  Le cœur battra tellement lent que les oreilles entendront chaque bruits, comme le crissement des métaux.  Le ventre se tournera tellement sur lui-même qu’il se croira une roue d’un véhicule sur l’autoroute.  L’espérance est que le train ne restera pas prit mais il y a toujours la peur d`y descendre.  Si les yeux voyagent au sol, regardent le monde qui ont les yeux sur eux, ils souhaiteront seulement qu’ils peuvent échanger de situation.  Le cerveau veut seulement survivre donc il exigera à tous ses serviteurs de s’agripper à quelque chose, que ce soit une barre ou une porte.
Le cerveau croit que s’il survit cette montagne russe, il n’ira plus jamais sur une chose si atroce et effrayante.  En ralentissant, le cerveau sait que le train va arriver au point culminant et par la suite, descendre le rail avec une vitesse dépassant la celle d’un guépard.  En ralentissant, le cœur ralentit encore à un point où un homme qui occuperait un moniteur de fréquence cardiaque pourrait lire qu’il est décédé.  Lors de l’arrivée au sol, il va y avoir un baiser sur la terre, un baiser comme celui d’un soldat qui est revenu d’outre-mer à sa femme, car il a survit une expérience comme aucune autre.  L’atmosphère contient de moins en moins d’oxygène car les poumons respirent avec une puissance d’une pompe d’un jeune qui veut aller en vélo mais n’a pas assez d’air dans ses pneus.  Cet homme vient de voyager la plus longues minute de sa vie et a ressenti une des meilleures sensations possibles.
Dominic Lacroix

mercredi 2 mars 2011

Produit fini

Avons-nous le droit à la santé?
Dans le texte de Mario Daigle, «Pour que tout le monde respire», Daigle parle des mesures prises pour limiter l’usage du tabac dans les lieux publics.  Même s’il est d’accord avec le principe de limiter l’usage du tabac, il remet en cause la moralité des mesures qui conduisent des individus à devenir des policiers et des juges en vue d’empêcher l’usage du tabac dans les lieux publics.  Il montre un parti pris contre ces mesures qui d’après lui, amènent à traiter les individus comme des criminels.  Au regard de son argumentaire, on est en droit de se demander si enlever le droit de juste jouissance de l’usage du tabac est une chose nécessaire dans une société libre et démocratique?  Oui, car une personne peut se trouver une autre jouissance mais elle ne peut pas se trouver une autre santé.  Alors je m’oppose au texte de Mario Daigle en contredisant l’immoralité et les mauvais climats du travail causés par la dénonciation de l’usage du tabac.  J’appui le fait que la dénonciation de l’usage de tabac est nécessaire pour le bien fonctionnement de la société.
Premièrement, la loi explique que le patron doit nommer des inspecteurs qui ont comme tâche de donner des contraventions de 50 à 300$ au gens qui fument au travail.  Ces inspecteurs ne sont que des employés choisis du patron.  Si cette loi n’est pas respectée, l’entreprise recevra une contravention de 400 à 4000$.  Or, cette loi est mise en jeu pour la santé de tous les employés et donc forcera les fumeurs de fumer dehors à une distance de 15 mètres.  Cette loi ne protège pas seulement la santé des non-fumeurs mais aussi la santé des fumeurs.  Si les fumeurs doivent sortir dehors dans le froid seulement pour fumer une cigarette, ils vont peut-être y repenser.  En plus, Daigle choisi d’accepter cette loi et l’obéit.  Le philosophe du droit naturel, nommé Platon, a affirmé que «si tu n’es pas d’accord avec une loi, c’est ton droit de ne pas la respecter.»  Mon point n’est pas que Daigle ne devrais pas désobéir la loi, mais s’il n’était vraiment pas en accord avec la loi, il démontrerait une attitude plus hostile envers cette loi.       
Deuxièmement, la moralité est une nécessité dans la vie de tous les jours.  Daigle «se croirait revenu à l’école primaire où le chouchou de l’institutrice cafardait pour s’attirer à ses bonnes grâces. »  En autres mots, il croit que les bébés du travail dénoncent les fumeurs pour avoir l’aire meilleur que les fumeurs.  Cette citation impose-t-elle que les policiers sont tous immoral aussi? Car leur seul devoir est de garder la paix et d’arrêter et de donner des contraventions aux gens qui ne gardent pas la paix?  Le problème avec sa citation est que les «chouchous» dont il parle dénoncent quelque chose qui menace leurres santé.  Aux États-Unis, entre 70% à 90% de la population de non-fumeur sont, en réalité, des fumeurs de seconde main.  La raison de ceci est que 85% de la fumée d’une cigarette n’est pas aspiré par le fumeur, mais est libéré dans l’air.  En plus, pour chaque huit fumeur qui meurent de cause de consommation de tabac, un fumeur de seconde main (un non-fumeur) meurt de la même cause même s’il n’a pas fumé.  D’après ces informations, ce n’est pas immoral de dénoncer les fumeurs car c’est très mauvais de fumer n’importe où.
Finalement, dans son texte, Daigle explique que le climat de travail devient de plus en plus mauvais.  Par contre, il a écrit une citation qui lui contredit lui-même.  Il explique qu’il est en désaccord avec François Damphousse qui dit que «les tensions en milieu de travail vont diminuer à court terme.»  Cela est seulement l’opinion de Daigle et donc je suis d’accord avec Damphousse et en plus je crois que les tensions vont diminuer à long terme aussi. 
Pour conclure, je suis d’accord qu’enlever le droit de juste jouissance de l’usage du tabac est une chose nécessaire dans une société libre et démocratique.  C’est une loi qui est juste et créée pour tous et non seulement pour les non-fumeurs.  L’immoralité n’est pas présente dans la dénonciation des fumeurs.  La loi exige que le patron a une tâche de nommer des inspecteurs donc il doit la faire.  En rapport de son mauvais climat de travail, Daigle se contredit lui-même avec des faits qui sont pour et contre sa thèse.  Il est donc mêlé.  Je suis pour cette loi car je crois que ma santé et la santé de tous est plus importante qu’une délicatesse pour certains.         
Dominic Lacroix
Bibliographie
«Pour que tout le monde respire», Mario Daigle, Laval